Christmas gift from x3dom !

December 26th, 2011

The 1.3 version of x3dom comes with a bunch of new, incredible, and neat features !
Check it out ! Now ! On x3dom makers’ site !

La version 1.3 d’x3dom arrive avec pléthore de nouveautés et d’incroyables tout autant qu’élégantes ( 🙂 ) caractéristiques !
Vérifiez vous-même ! Maintenant ! Sur le site des créateurs du x3dom !

La renaissance de la visualisation 3d sur le réseau: webGL et x3dom

April 6th, 2011

De la 3d visible directement dans un navigateur Internet, sans installer de plugins, c’est aujourd’hui possible grâce aux navigateurs Firefox 4 et Google Chrome 10 (également Safari et Opera) et au développement de la technologie WebGL, basée sur les standards OpenGL.
Cette avancée majeure permet d’exploiter les capacités matérielles des cartes graphiques à travers les navigateurs soucieux de l’expérience des utilisateurs 🙂 .
On peut donc remercier le groupe Khronos qui a développé le WebGL, ainsi que le Consortium Web3d qui a contribué à l’élaboration de X3D, sans oublier évidemment l’Institut Fraunhofer qui développe à la fois le x3dom et le plugin de visualisation pour le X3D Instant Reality.
Lornet-Design proposera tout bientôt un exemple ballade 3d dans une rue de Dijon
En attendant, voyez déjà le genre de jeu que l’on peut réaliser avec cette technologie: un jeu inspiré par le film Tron et créé par Shy Shalom.

La presse en parle : Dijon 3D par Lornet-Design

April 16th, 2010

On ne le dira jamais assez, à l’heure où magnats de la presse écrite s’affligent d’une diminution de leur lectorat (et surtout de ce que cela implique), le papier est plus que jamais tendance 🙂 .
Le projet de centre-ville en 3d porté par Lornet-Design s’est vu récompensé hier d’un article d’une demi page dans le Bien-Public, premier quotidien de Bourgogne.
La visualisation de l’article en ligne de Monsieur Berty Robert se trouve ici ou ici. Bonne lecture.

Article de presse concernant le projet Dijon 3D par Lornet-Design

Dijon 3D dans le Bien-Public du jeudi 15 Avril 2010, un article de Berty Robert

Eléments de tourisme virtuel 3d

March 3rd, 2010

La fabrication de scènes 3d permettant de se promener dans une ville virtuelle, ou de s’y déplacer en volant (au choix), montre déjà, alors que l’art n’en est qu’à ses débuts, de fortes disparités dans la qualité de l’effet produit.
Une scène 3d est constituée de deux éléments majeurs : les objets 3d ou maillage (constitués de polygones) et les matériaux et textures appliqués sur ces objets afin de leur faire restituer matières (lumière) et couleurs (images bitmap et matériaux procéduraux). Ces deux éléments participent du poids final de la 3d: poids des fichiers images de texture, et poids des fichiers de coordonnées 3d, dont découlent les contraintes majeures de la ville virtuelle 3d en ligne que sont le temps d’affichage, la qualité de l’image finale et la fluidité de l’interaction.
Le haut débit des connexions Internet actuelles permet l’envoi de données de plus en plus importantes et l’évolution des processeurs graphiques repousse également sans cesse les possibilités d’affichage.
[On ne parlera même pas des logiciels permettant de visualiser la 3d en ligne, il y en a beaucoup, trop; les formats ne sont pas établis et sont concurrents plutôt qu’émulateurs, il n’y a qu’à tous les installer pour comparer, voilà un problème résolu 🙂 ]
Les outils technologiques sont donc bien présents, et pourtant l’effet obtenu est généralement décevant.
Pourquoi, me direz-vous ?
Ce sont probablement les conséquences des impératifs de productivité et de rentabilité.
Recréer une partie de tissu urbain en 3d navigable sur le web est un travail de titan et les solutions automatisées n’arrivent pas encore à rivaliser avec un travail artisanal: l’acquisition de données 3d et leur traitement semblent satisfaisants mais les photos qui serviront de textures nécessitent un traitement plus poussé que celui visible chez les “grandes enseignes” des villes 3d.
Quelques liens vers des projets de villes en 3d :

La vision artistique du tourisme virtuel 2.0

October 22nd, 2009

Dans le premier opus de ce qui s’annonce être un long combat pour la vie (du moins pour la survie)  de l’artiste je disais que grâce aux monstres industriels de l’Internet “on fait tout plus vite et moins bien, c’est gratuit et de fait ces choses-là n’ont aucune valeur. C’est l’exact contraire de la vision d’un artiste.”
Cette sentence implacable n’est bien sûr pas tout à fait vraie mais elle attire l’attention sur l’efficacité des méthodes modernes d’appropriation des marchés. Sur Internet, la plupart des services sont gratuits pour peu que l’utilisateur travaille gratuitement à l’élaboration de contenus ou fournisse, la plupart du temps à son insu (qui donc lit vraiment les conditions générales d’utilisation et parmi ceux-là qui donc les respectent ou se sentent obligés ?), des données cruciales pour l’élaboration de produits auxquels il n’a pas accès et qui eux, se monnayent à un juste prix.
Bref, la situation est complexe et permettez-moi de n’y rien comprendre…

Revenons à la situation du tourisme virtuel en 3d et à la comparaison des productions industrielles et artisanales.
La production de cartes 3d industrielles fait appel à des outils fort coûteux et très polluants. Pour reproduire une réalité physique en 3d il faut d’une part modéliser la géométrie des lieux et places et habiller celle-ci par des textures photos.
L’industrie utilise des moyens perfectionnés pour reproduire bâtiments et paysages: images  satellites et images d’avions servent à la modélisation automatique des bâtiments, les textures photos capturées via une voiture itinérante servent au placage de textures.
L’artiste quant à lui crée manuellement les géométries des bâtiments et organise ses prises de vues afin de prendre en compte la lumière et l’ombrage de ces mêmes bâtiments. Il retouche manuellement les photos afin d’obtenir une homogénéité  des textures ce qui permet de montrer chaque façade sous son jour le meilleur.
Inutile de dire que face à une industrie rapide et automatisée, l’artiste est lent et soigneux.

L’industrie se trouve cependant confrontée à quelques problèmes lorsque certaines voies (en général des voies piétonnes, qui se comptent en nombre dans les villes d’Europe) sont inaccessibles aux voitures. Voilà que la solution miracle montre son talon d’Achille… (à suivre)